Abidjan, Côte d’Ivoire, le 31 août 2024 (crocinfos.net)—Les autorités d’un régime sont comptables devant l’histoire de la dépravation des cultures africaines : n’en déplaise aux libertins je répète « tout pousse en Côte d’Ivoire même les conneries ; la Côte d’Ivoire est un terreau fertile pour les bêtises. »
La défense toute trouvée
Libéralisme économique d’accord, liberté oui; mais libertinage, bestialité et dépravation des mœurs non, non et non. Notre pays a la réputation d’être occidentalisé, acculturé et vitrine de l’Occident à bien des égards. Il y a cependant un pan de nos us et coutumes que les ivoiriens pour rien au monde n’accepteront de profaner. Nos valeurs culturelles notamment la famille, son honneur et sa dignité ne doivent en aucun être phagocytés. Les Ivoiriens sont profondément croyants ; à cheval sur la morale. C’est pour cela que la Côte d’Ivoire est un pays béni de Dieu. Il n’y a donc rien de surprenant dans le déchaînement des ivoiriens contre les pédés et les lesbiennes pudiquement classés sous les vocables d’homosexuels LBGTQ+. Chacun est libre de prendre son plaisir où et quand il le veut c’est sa vie privée ; à condition de respecter la limite, le totem des autres. Ne dit-on pas que la liberté de chacun s’arrête où commence celle des autres ?
‘’Nos valeurs culturelles notamment la famille, son honneur et sa dignité ne doivent en aucun être phagocytés.’’
Cette aversion ouverte des familles ivoiriennes pour ces différentes orientations sexuelles n’est que la conséquence d’une part, du laxisme du pouvoir politique et d’autre part des agressions répétées des organisations LGBTQ+ et des diplomates occidentaux irrespectueux de notre souveraineté et de nos valeurs culturelles. J’avais dans un de mes articles prévenu des imprévisibles réactions des populations ivoiriennes. C’était quand l’ambassade des États-Unis d’Amérique d’Abidjan avait, au mépris des autorités ivoiriennes et de la population ivoirienne, accroché une banderole arc- en- ciel des LBGTQ+ sur les grilles débordant sa souveraineté territoriale diplomatique. La représentation, le siège de l’Union Européenne a, également de façon ostentatoire, fait flotter le drapeau des homosexuels dans le ciel du plateau quartier des affaires. Ce qu’ils n’oseraient jamais faire à l’Elysée, à la Maison Blanche, à la Place Rouge, en Iran, en Chine, en Algérie, en Égypte en Mauritanie…
J’avais écrit que toutes ces campagnes agressives insidieuses improductives auront tôt ou tard des effets répulsifs dans la population ivoirienne. Le lobby des homosexuels provoquent, agressent, déversent sa corruption dans les dessins animés et feuilletons télévisés, dans les manuels et milieux scolaires. Les familles africaines doivent redoubler de vigilance pour la protection des enfants.
‘’J’avais écrit que toutes ces campagnes agressives insidieuses improductives auront tôt ou tard des effets répulsifs dans la population ivoirienne.’’
Les réactions actuelles des familles ivoiriennes sont d’autant justifiées que n’eût été la vigilance et le courage des députés ivoiriens, le gouvernement ivoirien aurait fait voter un texte, une loi tendancieuse.
D’où vient cette superficie ? Alors que nous ivoiriens avions été rassurés par Dr Alassane Ouattara qui à Korhogo avait dit que la France, les États-Unis d’Amérique ont leurs coutumes nous avons la nôtre. Macky Sall au Sénégal a donné une réponse cinglante de non-recevoir au président Ushein Barack Obama. Les présidents ougandais Yoweri Museveni et russe Vladmir Poutine ne sont pas passés par quatre chemins.
Nos pays africains peuvent sans risque se soustraire des pressions et chantages de l’aide financière contre l’acceptation officielle de l’homosexualité sur nos sols. Si notre argent ne nous suffit pas, nous n’avons qu’à faire des priorités dans nos choix pour éviter des diktats pervers. La Côte d’Ivoire ne va pas mourir de faim.
Le gouvernement doit faire beaucoup attention ; être proactif. Aujourd’hui les ivoiriens, les guides religieux chrétiens et musulmans sont vent debout.
Les faits sont sacrés les commentaires sont libres.
Dr Issa Sangaré Yeresso Prix international de journalisme Université Aix Marseille 2.Chevalier de l’ordre de la Culture.