[Exclusivité Burkina Faso] Voici la liste des personnalités visées par la marche

[Exclusivité Burkina Faso] Voici la liste des personnalités visées par la marche

La marche du mouvement ‘’Sauvons le Burkina Faso’’, prévu pour le samedi 27 novembre 2021 qui, selon les initiateurs est de ‘’rendre hommage à nos frères et sœurs tombés et exiger la démission du président du Faso’’ n’a fini de livrer ses secrets.

-Le président Roch Marc Christian Kaboré sur le départ ?

Abidjan, le 26-11-2021 (crocinfos.net) La marche du mouvement ‘’Sauvons le Burkina Faso’’, prévue pour le samedi 27 novembre 2021 qui, selon les initiateurs est de ‘’rendre hommage à nos frères et sœurs tombés et exiger la démission du président du Faso’’ , n’a fini de livrer ses secrets.

Cette marche, selon des sources bien introduites, vise des personnalités. Celles-ci recevront la visite du peuple le 27 novembre pour ‘’demander des comptes sur la gestion chaotique du pays et pour complicité (liste non exhaustive)’’.

Le cimetière de Gounghin au Burkina Faso enregistre à chaque attaque terroriste, plusieurs corps de jeunes militaires. Notre photo

Nous vous proposons en exclusivité la liste des personnalités visées, qui nous est parvenue et qui ne fait l’ombre d’aucun doute au pays des Hommes intègres.

Rock Kaboré (domicile Patte d’Oie).

– Simon Compaoré.

– Bala Sakandé.

– Chef des renseignements : François

– Directeur de cabinet du président : Seydou Zagré le tueur de chiens rouges.

– Ministre Laurence Ilboudo.

– Ministre des télécommunications : Adja Sanou

– Ministre Ouaro.

– Ministre de la communication Ousseini Tamboura.

– Ancien chef d’Etat major de l’armée de l’air.

– DG Police Nationale.

– Commandant des Unités d’intervention polyvalente de la Police nationale.

– Cherif Sy.

– Claude Bouda.

Leurs rôles :

-Libération de centaines de terroristes par le chef des renseignements à l’approche des élections passées pour pouvoir organiser les élections. Après les élections ces même terroristes ont repris les armes et endeuiller des familles.

– Coupure d’internet mobile pour museler les citoyens sachant que 95% des citoyens connectés accèdent à internet grâce aux données mobiles. Et pour permettre au convoi français de s’évaporer dans la nature.

– Détournements financiers du budget de l’armée, surtout l’armée de l’air.

– Armée de l’air : Marchés publics d’achat d’armes et d’hélicoptères de guerres attribués de gré à gré à un ami du président qui est un gros escroc international et trafiquant d’arme ( Raffik ) qui a fini par livrer des hélicoptères civiles de tourisme et empocher le reste de l’argent. « Si on manque d’hélicoptères militaires pour intervenir la nuit pour sauver les hommes sur le terrain c’est de leur faute », explique notre source.

– Ministère des affaires étrangères : Délivrance de passeport diplomatique Burkinabé à Raffik, trafiquant d’arme international.

– Mensonge sur les cadavres des attaques terroristes, en diminuant leur nombre expressément pour ne pas que le peuple se rebelle.

Face aux journalistes lors de la conférence de presse du samedi 20 novembre 2021 à Ouagadougou sur le sujet, les conférenciers ont été formels. « Ce sera le jour de refus national d’un pouvoir qui s’accommode de ses morts. Nous demandons aux uns et aux autres de se vêtir ce jour-là de signes marquant l’évènement (habit noir, par exemple). Nous sortons pour rendre hommage à nos frères et sœurs forces de défense et de sécurité tombées. Je veux ici, signaler au pouvoir en place, aux partis de la majorité présidentielle, qui organisent des réunions en chaînes, où il nous revient que des billets de banque circulent, dans la perspective de casser notre noble lutte, qu’ils sachent qu’on peut avec de l’argent acheter la liberté d’un homme, on peut acheter la liberté de 100 hommes, mais on ne pourra jamais acheter la liberté de tout un peuple. Il faut rompre avec ça. Il faut écouter la douleur du peuple burkinabè. Le sang a trop coulé, il est grand temps que ces dirigeants cessent avec ces manigances », prévenaient Anaïs Drabo, Valentin Yambkoudougou, Mamadou Drabo et Oumar Junior Bahoro.

L’affaire fait grand bruit au Burkina Faso, les burkinabè et la communauté internationale retiennent leur souffle. Un autre vent va-t-il souffler sur le Palais et emporter le régime en place ? La question reste posée.

Kpan Charles

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