-FESCI tous les régimes politiques ivoiriens sont complices et coupables
Abidjan, le 9 octobre 2024 (crocinfos.net) – Tout n’a pas encore été dit et su des crimes perpétrés par la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI). Ce monstre tentaculaire indescriptible a été créé et entretenu avec et par la bénédiction des hommes politiques ivoiriens. Les partis politiques de Côte d’Ivoire ont chacun à sa façon bénéficié des agissements de la FESCI au détriment des intérêts de la patrie Côte d’Ivoire et de ses braves citoyens.
Comment comprendre que c’est seulement en Côte d’Ivoire et nulle part ailleurs qu’une mafia s’érige impunément en une ” institution ” qui s’arroge au nez et à la barbe des différents gouvernants des cinq présidents de la République, du président de l’Université et du président du Centre des Œuvres Universitaires plus de 2500 chambres qu’elle sous loue à des prix très élevés, rackette tous les commerçants dans et autour des cités universitaires, se fait sans effort une manne financière de plus de 450 millions de frs CFA par an, construit au sein de l’université des fumoirs, chambres de prostitutions, impose son diktats aux notations et calendriers scolaires ? L’État et les contribuables ivoiriens sont victimes d’une escroquerie criminelle : des travailleurs, familles entières et faux éternels étudiants mangent dans les restaurants universitaires des plats subventionnés, ne paient pas l’eau et l’électricité qui sont consommées sans retenue au frais de l’État.
‘’Espérons que une fois pour toutes, le gouvernement du président Alassane Ouattara et de son premier ministre Beugré Mambé mettra fin à ce crime organisé aux antipodes d’un syndicat estudiantin.’’
Cette organisation syndicale a fait siennes les méthodes de la mafia de l’Italie : assassiner tous les résistants et mauvais payeurs. Face à cette chienlit les gouvernements ivoiriens sont demeurés faibles impuissants. Jamais vous ne verrez ailleurs dans aucun pays de telles forfaitures. Espérons que une fois pour toutes, le gouvernement du président Alassane Ouattara et de son premier ministre Beugré Mambé mettra fin à ce crime organisé aux antipodes d’un syndicat estudiantin.
Les faits sont sacrés les commentaires sont libres.
Dr. Issa Sangaré Yeresso, Prix international de journalisme Université Aix Marseille 2.Chevalier de l’ordre de la Culture.