[Karim Benzema] Victime de racisme et discrimination en France, une histoire de football et de politique
Dr. Issa Sangaré Yeresso, journaliste, Prix international de journalisme Université Aix Marseille 2.Chevalier de l'ordre de la Culture, dénonce l'histoire de Karim Benzema, la vedette interplanétaire du football français, victime du racisme et de la discrimination au sommet de l'État. Les liens entre le monde du football et la politique française, mettant en lumière les défis et les injustices envers les sportifs de couleur font face en France.
Abidjan, Côte d’Ivoire, le 25 octobre 2023 (crocinfos.net)—France, racisme et discrimination au sommet de l’État : Karim Benzema footballeur vedette interplanétaire est depuis son éclosion le souffre douleurs des racistes français du bas peuple au sommet de l’État. Du fait de son origine algérienne. C’est souvent que les politiciens de l’archaïque classe politique française – l’une des droites les plus amnésiques et l’une des gauches les plus bêtes du monde -, surtout dans la visée des élections, cherchent des poux dans la calvitie de la star du ballon rond, Ballon d’or dont la popularité dépasse les frontières de la Gaulle. La classe politique française dans toutes ses composantes incapable d’ingéniosité et de mutation de sa politique étrangère, bande ses neurones sur les tares internes.
1)-Avant- hier, aidés par les affidés, journalistes à la solde des politiciens qui ont prétexté que la coqueluche du Réal de Madrid attaquant virevoltant de l’équipe nationale de France ne chantait pas l’hymne national, « La Marseillaise » pour le traiter de tous les maux par tous les mauvais mots. Certains politiciens mal inspirés ignorant les lois ont demandé de le déchoir de sa nationalité (hic). Or, à l’entame des matchs officiels, nous n’avons jamais vu à la télévision un président français en train de chanter l’hymne national. Le général Charles de Gaulle, Pompidou, Giscard, Chirac, Mitterrand, Sarkozy, Hollande et Macron ne chantaient publiquement La Marseillaise que dans les meetings politiques. En sports, ils ne remuent même pas les lèvres. Comme si, porter le maillot, le mouiller se battre au risque de sa vie n’est pas une preuve suffisante de patriotisme.
2)-Hier le même Karim Benzema voulant secourir son coéquipier Mathieu Valbuena dans une affaire de sextape (tiens qu’est-il devenu celui-là ???) a été le baudet à abattre condamné par la justice influencée par les sommités de l’État, notamment le président de la République François Hollande qui a ouvertement pris position avant la justice ; il a même réclamé et obtenu la mise à l’écart du « goaleador »des bleus. Avec la haine, la complicité et la soumission d’un entraîneur jaloux et rancunier. Dans tout, il y a Dieu ; seuls les athées ne l’admettent pas. Le natif de Lyon (France) a accepté dans le silence et l’humilité les sentences des méchants sans accepter les accusations. Comme le Phoenix au Real de Madrid, faiseur de star, il renaîtra de ses cendres avec un magnifique incontestable ballon d’or.
‘’L’abominable stratégie de Moussa Darmanin, pour être un grand homme il faut se chercher de grandes querelles. Karim Benzema est un grand homme très médiatisé. En s’attaquant à cette icône planétaire du football, l’ex-petit député se donne de la visibilité.’’
3)-Aujourd’hui, un politicien récidiviste notoire de son vrai nom de naissance Gerald Moussa (?) Darmanin, ministre de l’intérieur du gouvernement d’Emmanuel Macron a accusé une fois de plus Karim Benzema de « lien notoire avec les frères musulmans » un mouvement «classé terroriste » une stratégie, un chemin cousu de fil bleu- blanc- rouge : la plupart des ministres de l’intérieur de France, pour assouvir leurs ambitions de candidature aux élections présidentielles se pavanent dans les médias, tapent dure à tort et à travers sur l’immigration noire et arabe. Ce que nous appelons dans notre jargon « sujet réchauffé périodiquement sorti des placards ». Le but, comme ils le disent sans gêne ni honte «chasser des voix électorales sur le terrain de l’ex-front national de la famille Le Pen ». Sans succès. L’abominable stratégie de Moussa Darmanin, pour être un grand homme il faut se chercher de grandes querelles. Karim Benzema est un grand homme très médiatisé. En s’attaquant à cette icône planétaire du football, l’ex-petit député se donne de la visibilité. Pour lui, il faut avoir la faveur des français terrorisés par l’épouvantail de l’immigration brandi par les médias et leurs journalistes à la solde des maîtres. Ainsi, hyper médiatisé il compte prendre de l’avance sur ses concurrents et s’imposer dans la course à la succession du locataire du palais de l’Élysée. C’est le cheminement que la plupart des ministres de l’intérieur de la France ont emprunté. Karim Benzema, n’est certainement pas un saint; mais il est un éternel Bouc émissaire discriminé, objet de toutes les attaques de la classe politique raciste en dégradation constante. Dieu est au contrôle.
Les faits sont sacrés les commentaires sont libres.
Dr. ISSA SANGARE YERESSO Prix international de journalisme Université Aix Marseille 2.Chevalier de l’ordre de la Culture.