[Le MOSES] Un projet au cœur des critiques constructives et des espoirs

[Le MOSES] Un projet au cœur des critiques constructives et des espoirs

Après son intervention sur Business 24 TV, le concepteur de LE MOSES, Benjamin IRIE, a reçu des critiques constructives de la part de scientifiques et techniciens. Ce projet éducatif et économique suscite déjà un vif intérêt pour son potentiel à transformer durablement l’économie.

Abidjan, le 2 octobre 2024 (crocinfos.net) – Suite à l’apparition de Benjamin IRIE, ingénieur agro-économiste et concepteur de LE MOSES, dans l’émission “Défis du moment” diffusée sur Business 24 TV, l’équipe de communication du projet a partagé les réactions suscitées. En effet, l’intervention de dix minutes a généré une vague de critiques, à la fois sur le fond et sur la forme de son projet. Toutefois, l’équipe de communication du concepteur perçoit ces critiques comme des retours objectifs, inscrits dans la démarche scientifique.

Selon eux, recevoir des critiques de la part de scientifiques et de techniciens de haut niveau est un privilège rare. Ces derniers témoignent ainsi de leur intérêt pour LE MOSES, félicitant et encourageant son promoteur. Contrairement à la retenue généralement observée dans les cercles scientifiques, la rapidité et la qualité des interventions suite à l’émission démontrent un intérêt réel pour ce projet novateur. Les critiques émanent de diverses sphères sociales : universitaires, agents de développement, écrivains, députés, et même des ménagères, qui ont tous réagi favorablement. Cela prouve que LE MOSES dépasse les frontières de la simple théorie pour devenir un outil concret d’amélioration des conditions de vie.

Benjamin Irié

Ce projet, qui vise à répondre à la problématique de la vie chère et à stimuler une transformation structurelle de l’économie, suscite de nombreux espoirs. Selon les premières réactions, LE MOSES pourrait rapidement devenir incontournable dans la lutte pour un développement durable. Son rôle est perçu comme fondamental dans la réforme des systèmes éducatifs et la formation des agriculteurs, en les aidant à maximiser leur production vivrière de qualité.

Cependant, ces critiques soulèvent également des points d’amélioration. LE MOSES doit encore être affiné pour atteindre son plein potentiel. Pour Benjamin IRIE, l’essentiel est que les observations formulées soient prises en compte afin de parfaire la prochaine présentation du projet. Mais malgré ces ajustements nécessaires, l’enthousiasme suscité par son projet, notamment de la part de ses pairs, lui permet de considérer LE MOSES déjà comme un succès.

L’ingénieur souligne également que ces critiques ne constituent pas des obstacles insurmontables. Au contraire, elles servent de levier pour perfectionner le projet. L’appui des experts scientifiques et techniciens, prêts à l’accompagner, lui assure un cadre solide pour la réalisation de ses objectifs.

En conclusion, les seize années de recherches de Benjamin IRIE commencent à porter leurs fruits. Les critiques, loin de freiner le projet, en assurent au contraire une meilleure exécution. LE MOSES, avec ses nombreux soutiens et son potentiel de transformation, pourrait devenir un outil clé pour le développement durable, non seulement en Côte d’Ivoire, mais à travers tout le continent africain. La prochaine étape du projet sera cruciale pour confirmer ces espoirs et pour prouver que les défis relevés ont été surmontés.

Athanase Kangah


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