Abidjan, Côte d’Ivoire, le 24-1er-2024 (crocinfos.net)—Sincèrement peiné par ce départ précipité et, surtout, par le choix de son remplaçant.
Si Faé Emerse n’avait pas démissionné, c’est qu’il était consulté pour les classements et les remplacements de joueurs. Par conséquent, il est comptable du succès comme de l’échec. C’est indubitable.
Et puis, à ce stade de la compétition, il faut une union sacrée autour de l’équipe qui, je suis sûr, avec cette “résurrection”, va être transcendée pour les éliminations directes.
On n’avait pas besoin de cet imbroglio, de ce spectacle qui fait jaser, on aurait pu user de sagesse pour recoller les choses, se consacrer à la suite de la compétition et la terminer tranquillement.
‘’Si Faé Emerse n’avait pas démissionné, c’est qu’il était consulté pour les classements et les remplacements de joueurs. Par conséquent, il est comptable du succès comme de l’échec. C’est indubitable.’’
Je suis peiné pour le démissionnaire car tous ceux en qui il a fait confiance et qui ont déjoué continuent la compétition.
Quelle ambiance au sein de l’équipe après cet adieu ? Dire que si les tirs de Christian Kouamé contre le Nigeria ou la Guinée équatoriale étaient allés au fond des filets, dire que si Nicolas Pépé savait que quand on est fauché dans la surface de réparation, on tombe, Gasset ne serait pas en train de faire ses bagages. Tuons en nous les émotions pour reconnaître que cette décision n’est pas du tout sage.