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[Echanges citoyens] Awa Dosso et le Cicg séduisent les populations du Bas-Sassandra

Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly (à droite de la directrice du Cicg) a rassuré les populations du Bas-Sassandra sur plusieurs préoccupations.

Bouaké, Côte d’Ivoire, le 23 juillet 2024 (crocinfos.net)—Le dimanche 21 juillet 2024, la tribune d’échanges du Centre d’information et de communication gouvernementale (Cicg) était à sa 3e étape dans le district du Bas-Sassandra. Après celle de Man dans le district des Montagnes le 10 mai 2024 et celle de Dimbokro dans le district des Lacs, le 14 juin dernier. Les citoyens dudit district ont eu plus de 4 heures d’échanges directs à l’Université polytechnique de San Pedro avec Amadou Coulibaly, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, et Philippe Légré, ministre gouverneur du Bas-Sassandra, représentants la partie gouvernementale. 

Initiée par la directrice du CICG, Awa Dosso, avec l’appui du ministère de la Communication, cette tribune d’échanges et de proximité matérialise la volonté forte du Président de la République, Alassane Ouattara, de renforcer la proximité avec les populations en les plaçant au cœur de l’action gouvernementale dans une Côte d’Ivoire solidaire.

Une vue des participants. Ph. Dr

Venues massivement des trois régions du Gbôklè, de la Nawa et de San Pedro, les populations se sont réjouies de la tenue de ces échanges citoyens qui leur permettent de poser des questions sur les problèmes que connaissent leurs régions. Elles ont remercié le Chef de l’Etat et le gouvernement pour les nombreuses actions de développement liées aux routes, à l’électricité, à l’eau potable, à l’école, à la santé, à la décentralisation des Universités en Côte d’Ivoire, etc.

Les citoyens du Bas-Sassandra ont cependant fait savoir que beaucoup reste à faire. Ils ont posé des doléances relatives, entre autres, au raccordement des poteaux électriques et à la régularité de l’électricité ainsi qu’au bitumage des voiries. En matière de construction, les chefs traditionnels ont souhaité plus d’explications concernant l’Attestation de droits à usage coutumier (ADU). Les questions sur l’autonomisation des jeunes, la subvention des COGES, l’orpaillage clandestin sur le fleuve Sassandra, un prix garanti pour le binôme hévéa-palmier à huile n’ont pas été occultées.
Le porte-parole du gouvernement a apporté des réponses claires aux différentes interrogations des populations qui ont souhaité voir d’autres actions de l’Etat se réaliser dans leurs localités. Le ministre Amadou Coulibaly les a par ailleurs assurées de ce que le développement touchera toutes les régions du pays. « Aucune région n’est oubliée. Inscrivons-nous dans la vision du Président de la République qui est de développer des infrastructures sociales de base », a-t-il dit.

Ouattara Abdoul Karim à Bouaké avec le service de com

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