Média : Le bihebdomadaire “L’Essor Ivoirien” fête son premier anniversaire
Le bihebdomadaire ‘‘L’Essor Ivoirien’’ a célébré vendredi, à la Maison de la Presse d’Abidjan, sa première année d’existence sur le marché de la presse écrite en Côte d’Ivoire.
Une rencontre rehaussée par la présence de l’ex ministre Joël N’Guessan, représentant le président du groupe parlementaire du RDR, Amadou Soumahoro, le Directeur Général de la Matca, Guédou Ousmane et le président de l’UNJCI, Traoré Moussa dit MT.
Selon le Directeur Général de ‘‘L’Essor ivoirien’’, Sidi Tehra, le bihebdomadaire d’informations générales est un journal centriste. « Il n’appartient ni au RDR, ni au PDCI, ni au FPI. C’est un support pour soutenir le Président de la République, Alassane Ouattara, dans ses actions de développement et de réconciliation tout en respectant l’éthique et la déontologie du métier », a-t-il martelé.
Toutefois, a-t-il rappelé, « celui qui attaque Ouattara, je l’attaque. Celui qui attaque Bédié, je l’attaque. Voilà, la vraie ligne éditoriale de l’Essor Ivoirien ».
A l’en croire, le bihebdomadaire revêt un bilan très satisfaisant en un an d’existence. « Mon objectif s’est d’être un quotidien dans trois mois, car à cœur vaillant rien d’impossible » a-t-il ajouté.
Joël N’Guessan, vice-président du RDR, a, pour sa part, félicité et encouragé le DG du bihebdomadaire et son équipe à continuer. « Mon souhait c’est que vous puissiez passer le cap de la deuxième année pour pouvoir bénéficier du fonds de soutien à la presse »
L’ex ministre a recommandé la mise en place d’une presse en ligne pour diversifier les sources de revenus. « Je vous conseille d’avoir votre presse en ligne et je souhaite d’ailleurs que tous les journaux ivoiriens aient leur presse en ligne ».
Au nom du ministre Amadou Soumahoro, il a fait la promesse d’imprimer au moins deux numéros du bihebdomadaire.
Le président de la cérémonie, par ailleurs directeur général de la mutuelle d’assurance des taxis compteurs d’Abidjan (MATCA), Ousmane Guédou, a souhaité d’Ivoire puisse en profiter dans le bon sens, car selon lui, la presse ivoirienne est responsable et professionnelle.
Mous Touré
