Politique, c’est sorcellerie des Blancs que nous voulons…(Simple avis Par Pascal Kouassi)

Politique, c’est sorcellerie des Blancs que nous voulons…(Simple avis Par Pascal Kouassi)

Lorsque l’un des Blancs qui connaît bien l’Afrique et les Africains avait déclaré que les Africains n’étaient assez mûrs pour la démocratie, notamment le multipartisme, les Africains se sont sentis frustrés, humiliés, blessés car une telle déclaration les mettait à l’écart des nations civilisées. En fait, Jacques Chirac a usé d’euphémisme. Il voulait tout simplement dire que les Africains n’étaient (sont) pas assez intelligents pour la démocratie.

‘’Se réjouir de la maladie de son prochain, c’est de la sorcellerie. Et comme en dehors de la politique, on ne fait pas cela, la politique est donc de la sorcellerie’’.

Lorsque quelques années plus tard, Emmanuel Macron a dit que quand l’Afrique fait plus de 7 enfants par famille, elle ne peut se développer, c’était l’émoi dans toute cette Afrique où déjà les citadins refusent de faire plus de 3 enfants. Mais comme ce propos venait d’un Français, on a insulté Macron, on a insulté la France qui n’a pas de leçon à donner à l’Afrique vu qu’elle n’est pas un modèle de poche de moralité à cause de ses homosexuels et ses lesbiennes.

L’Afrique est mûre pour la démocratie. Elle est indépendante et peut faire autant d’enfants qu’elle désire. D’ailleurs, n’est-ce pas Dieu qui donne les enfants à l’Afrique ? Macron qui a épousé une vieille femme n’a rien à voir dans ‘’affaire d’enfants’’.

Et c’est vrai. Avec l’annonce du contrôle médical du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly en France, et la joie que cela a suscitée chez bien des gens, même au sein de son parti politique, on sait désormais que la démocratie occidentale sied bien aux Africains, que Jacques Chirac a bel et bien insulté les Africains quand il avait affirmé que la sorcellerie des Européens ne leur convenait pas. Ce fétiche des blancs peut être bien adoré par les Africains.

Le contraire est une insulte grave qui mérite que les instances de l’Onu statuent là-dessus.

Se réjouir de la maladie de son prochain, c’est de la sorcellerie. Et comme en dehors de la politique, on ne fait pas cela, la politique est donc de la sorcellerie.

CATEGORIES
TAGS
Share This