[FIF] Des stars binationales pour la Côte d’Ivoire

Abidjan, Côte d’Ivoire, le 18-5-2024 (crocinfos.net)—La Fédération ivoirienne de football (FIF) a encore l’opportunité d’intégrer certains talents binationaux, non sélectionnés par Didier Deschamps pour l’Euro 2024. Ces joueurs, bien que français de naissance, possèdent des racines ivoiriennes et pourraient renforcer l’équipe nationale ivoirienne.

Tiémoué Bakayoko , né le 17 août 1994 à Paris, évolue comme milieu défensif au FC Lorient. Issu d’une famille ivoirienne de huit enfants, il est un candidat potentiel.

Manu Koné (Kouadio Emmanuel Koné), né le 17 mai 2001 à Colombes, joue comme milieu central au Borussia Mönchengladbach. Sa polyvalence et ses performances en Allemagne en font un atout précieux.

Elye Wahi. Ph. Dr

Elye Wahi, né le 2 janvier 2003 à Courcouronnes, est attaquant au RC Lens. Malgré son jeune âge, son potentiel est indéniable.

Angelo Fulgini, né le 20 août 1996 à Abidjan, est milieu relayeur au RC Lens. Avec des parents ivoiriens, il pourrait retrouver ses racines à travers la sélection nationale.

Loïc Badé, né le 11 avril 2000 à Sèvres, est défenseur central au Séville FC. Sa mère étant ivoirienne, il est éligible pour rejoindre les Éléphants.

Doué Désiré, né le 3 juin 2005 à Angers, est milieu offensif au Stade rennais FC. Ses parents ivoiriens lui ouvrent la porte de l’équipe nationale.

Leny Yoro, né le 13 novembre 2005 à Saint-Maurice, joue comme défenseur central au LOSC Lille. D’une mère ivoirienne et d’un père français, il pourrait être sollicité par la Côte d’Ivoire.

Tanguy Nianzou, né le 7 juin 2002 à Paris, est défenseur central et milieu défensif au Séville FC. Ses deux parents étant ivoiriens, il est une option viable pour la sélection.

Guillaume Restes, né le 11 mars 2005 à Toulouse, est gardien de but au Toulouse FC. D’origine ivoirienne par sa mère, il représente une future étoile potentielle.

Avec ces talents binationaux, la Côte d’Ivoire pourrait bien surprendre sur la scène internationale. Certains joueurs, non retenus pour l’Euro 2024, pourraient trouver une nouvelle motivation et un nouveau défi en défendant les couleurs de leurs ancêtres.

Kangah Athanase