[36e Session ordinaire des chefs d’États et de gouvernements de l’UA] Koné Tiemoko Meyliet à la tête de la délégation ivoirienne à Addis-Abeba

Addis-Abeba (crocinfos.net) À la 3^e journée des travaux à l’UA, plusieurs activités ont meublé l’agenda de la délégation ivoirienne conduite par le vice-président Tiémoko Meyliet Koné dont Pierre N’gou Dimba, ministre ivoirien de la Santé, de l’Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle.

Ce fut l’occasion pour le ministre Pierre N’gou Dimba de prendre part à une rencontre ministérielle de haut niveau organisée par le Centre africain de Contrôle et de Prévention des maladies (AFRICA CDC).

Cette rencontre a enregistré au cours de la cérémonie d’ouverture les discours de la Présidente éthiopienne, Sesahle-Work Zewde, co-hôte de l’événement, du Président du Rwanda Paul Kagame, et de la présence de plusieurs chefs d’États notamment William Samoci Kuto, du Kenya, Julius Maada Bio, de la Sierra-Léone, Hakaindé Hichilema de la Zambie,  Cyril Ramaphosa, de l’Afrique du Sud, chef de file de l’UA dans la riposte contre le Covid-19, ainsi que celle du représentant de la commission de l’UA et de la secrétaire générale de l’OIF.

Cette  rencontre a servi de cadre idéal pour un partage d’expériences entre les ministres africains de la santé.

Une approche novatrice initiée par le CDC Afrique en vue du renforcement des soins de santé primaire au profit  des populations  pour l’atteinte de Couverture Sanitaire Universelle.

Le ministre Pierre N’gou Dimba tout, en partageant son expérience, a présenté la vision “Côte d’Ivoire solitaire” du Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA et son leadership qui ont permis le développement du système sanitaire afin de relever les défis auxquels notre pays est confronté. Notamment, la riposte contre la crise de Covid-19, la lutte contre le paludisme, la tuberculose, le VIH/SIDA, les maladies émergentes (le cancer, les maladies cardiovasculaires…).

La  santé sur le continent Africain demeure une condition préalable de développement, un droit fondamental et un investissement pour le développement du capital humain.

Avec le Sercom Santé