[Hommage Média] Quand Bamba Alex Souleymane fait chanter et danser les lettres pour Sylvie Touré

[Hommage Média] Quand Bamba Alex Souleymane fait chanter et danser les lettres pour Sylvie Touré

Quand Bamba Alex Souleymane, mon aîné, mon formateur, mon aîné fait chanter et danser les lettres pour ma fille, « ma petite fille Donougo », mon autre moi au féminin, Sylvie Touré, mon cœur vibre. Je le répète très souvent aux jeunes journalistes, le travail, rien que le travail assure le présent et construit le futur. Le reste, tout le reste, vient tout naturellement. Agir toujours en pensant à demain. Demain arrive toujours. Je mesure évidemment, le chemin parcouru (Par Fernand Dedêh).

Abidjan, le 11-5-2022 (crocinfos.net) Quand Bamba Alex Souleymane, mon aîné, mon formateur, mon aîné fait chanter et danser les lettres pour ma fille, « ma petite fille Donougo », mon autre moi au féminin, Sylvie Touré, mon cœur vibre.

Je le répète très souvent aux jeunes journalistes, le travail, rien que le travail assure le présent et construit le futur. Le reste, tout le reste, vient tout naturellement.

Agir toujours en pensant à demain. Demain arrive toujours. Je mesure évidemment, le chemin parcouru (Par Fernand Dédeh).

Ce que je crois…

Par Bamba Alex Souleymane

MA CHÈRE NIÈCE, Sylvie Touré

Après ta réaction ô combien admirative, suite à mon exégèse historiale au cœur de l’univers infini du savoir et des connaissances (leçon(s) de chose(s)), que te dire, quoi te dire de nouveau que tu ne susses ?

Toutefois, j’affirme que nous cultivons ; des valeurs qui fondent la communauté des personnes qui ont ensemble, le culte de la fraternité universelle.

Tu es un exemple. Un bel exemple à promouvoir. De bourgeon, tu es passée par toutes les étapes pour devenir un arbuste. Tu as poussé et as pris la forme d’un arbre qui dessinait déjà peu ou prou ton futur.

Mais que de souffrances et de difficultés sur le chemin de la réalisation de tes premiers pas dans cette presse où, ne subsistent que ceux qui ont à la fois, le savoir et le savoir-faire réel et non factice ! Rien à voir avec les néo-journalistes autoproclamés de Facebook et des réseaux sociaux. Selon le philosophe et dialecticien allemand Hegel, rien ne s’est accompli dans le monde sans passion. Tu en es une belle illustration.

A preuve, ta résistance (devant tous les obstacles humains, artificiels ou superficiels), est digne de lauriers. Tu es allée ton chemin. Tu as appris de tes erreurs et tu t’es mise sous l’ombre de grands baobabs (hommes comme femmes), pour disposer des atouts indispensables afin de te lever et de réaliser tes ambitions cristallisées aujourd’hui, dans la parfaite maîtrise des arcanes de ton métier : la presse, l’information et la communication. Quelle performance ! Comme les travailleurs de la nuit, tu goûtes aux délices de l’aurore.

’Tu peux être fière ma nièce, ma fille Sylvie ! Sache, que l’ascension n’est pas finie. Elle continue et elle continuera. Fais en sorte de demeurer égale à toi-même, et de surpasser sans cesse tes propres limites. Ainsi, l’école de la vie te sourira-t-elle, toujours encore plus. Reste telle que tu es, humble, généreuse dans l’effort, modeste et grande bosseuse ! C’est une leçon de chose.’’

Bref, rien ne t’a été donné. Tu as trimé. Tu as sué. Tu as trébuché mais, tu es restée debout. La Côte d’Ivoire est témoin de tes progrès sur le théâtre où les plus méritants, se produisent : le tube cathodique, c’est-à-dire la télévision, le miroir qui vous renvoie et votre propre image et celle des autres, livrée au jugement du peuple pluriel où, il y a tout et n’importe quoi. Ceci pour t’apprécier à ta juste valeur qui suscite par moment, aigreur, jalousie voire envie de certains demi-lettrés, plus prompts à vouer aux gémonies plus méritants qu’eux.

‘’Bref, rien ne t’a été donné. Tu as trimé. Tu as sué. Tu as trébuché mais, tu es restée debout.’’

Tu es de cette race. Un bel exemple de simplicité ; de courage, de réussite et de bonté du cœur. Voilà pourquoi aujourd’hui, tu joues en division supérieure, au grand dam des immodestes inutilement imbus. Ils sont les spectateurs de ta réussite. Hélas pour eux.

A l’opposé de ceux qui se bombent le torse, qui migrent d’une chapelle politique à une autre, d’un leader à un autre, d’une doctrine à une autre mais sans philosophie, tu t’es montrée fidèle en tout, sans jamais te laisser distraire par les chimères. Ton engagement, tes convictions et ta loyauté ont tissé ta couronne de lauriers.

Tu peux être fière ma nièce, ma fille Sylvie ! Sache, que l’ascension n’est pas finie. Elle continue et elle continuera. Fais en sorte de demeurer égale à toi-même, et de surpasser sans cesse tes propres limites. Ainsi, l’école de la vie te sourira-t-elle, toujours encore plus. Reste telle que tu es, humble, généreuse dans l’effort, modeste et grande bosseuse ! C’est une leçon de chose.

Merci pour ta haute appréciation de mes qualités intellectuelles, scientifiques, techniques et technologiques. Je n’en tire aucune gloire puisque c’est dans l’ordre normal de mes humanités labellisées et estampillées depuis des lustres par la grâce de Dieu. Ce qui va sans dire, va mieux en le disant. Une formule quasi mythique pour les grands esprits. « Labor improbus et omnia vincit » : un travail opiniâtre vient à bout de tout disent les Latins. Chapeau. Et inspire-toi s’en !

Ton oncle, Bamba Alex Souleymane

Journaliste professionnel

Expert consultant en stratégies et en Hautes Etudes Internationales

Chevalier de l’ordre national

Officier du mérite ivoirien

Commandeur de l’ordre du mérite sportif

 

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