[34e édition de la CAN] On peut lui dire Grand Merci…Par Ouattara Abdoul Karim

Abidjan, Côte d’Ivoire, le 13-2-2024 (crocinfos.net)—Alors que les préparatifs pour l’organisation de cette 34^e  édition de la CAN ivoirienne allaient bon train, le Président Alassane Ouattara promettait ‘’la meilleure CAN jamais organisée en Afrique’’. Ainsi, les infrastructures permettant la bonne organisation d’un tel événement ont été construites. Quatre (4) nouveaux stades bâtis ( Ebimpé d’Abidjan, Charles Konan Banny de Yamoussoukro,  Amadou Gon Coulibaly de Korhogo et Laurent Pokou de San Pedro), deux (2) anciens stades réhabilités ( Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan et La paix de Bouaké), toutes aux normes internationales avec des sites d’accueil et terrains d’entraînement pour les équipes, des routes dressées pour la liaison entre les villes, villages et hameaux du pays, des aéroports réhabilités répondant également aux normes internationales. Rien n’a été négligé. Tout a été pris en compte. Sécurité et salubrité publiques, hébergement, accueil dans les stades avec l’instauration d’un système de volontariat et de bénévolat.

‘’Alassane Ouattara, disons-le tout net a su insuffler confiance et courage à ses compatriotes (joueurs comme supporters) mis plus. Le Président Ouattara a su créer l’union et la cohésion telles qu’on ne les a jamais connues en Côte d’Ivoire.’’

En y mettant tous les moyens, le Président Alassane Ouattara faisait réellement de cette CAN, que dis-je, de “notre CAN“, la plus belle de l’histoire des Coupes d’Afrique des Nations de football. Dans cette 34^e édition, toutes les rencontres ont été âprement disputées. Surnommée “CAN de l’hospitalité”, la Côte d’Ivoire, comme à son habitude a su accueillir ses hôtes, créant de l’engouement autour de l’événement. Même au bord de la tombe après la défaite de leurs Eléphants face aux Equato-guinéens, les Ivoiriens, sous le coup de la nervosité n’en ont pas voulu à leurs étrangers. Ils ont continué à leur ouvrir les bras et prié pour la qualification de leur équipe. Le Président Alassane Ouattara qui croyait en ces Eléphants après avoir réussi l’organisation, a exhorté malgré la débâcle, les joueurs, le staff technique et l’ensemble des Ivoiriens à l’espoir. ” Il n’y a jamais 2 sans 3″, laissait-il espérer. Alassane Ouattara, disons-le tout net a su insuffler confiance et courage à ses compatriotes (joueurs comme supporters) mis plus. Le Président Ouattara a su créer l’union et la cohésion telles qu’on ne les a jamais connues en Côte d’Ivoire. Un pays fier de lui, un pays uni autour de son président et de son équipe et des couleurs nationales. Le slogan “découragement n’est pas Ivoirien” d’Houphouët-Boigny a une fois de plus fait ses preuves avec Alassane Ouattara. Déchaînés comme des fauves, les Eléphants comme leur nom l’indique, ont balayé tout sur leur passage depuis leur repêchage pour les 1/8e de finale. Les Lions du Sénégal, les Aigles du Mali, les Léopards de la République Démocratique du Congo (RDC) et les Super Eagles du Nigeria ont trépassé après le passage des pachydermes ivoiriens, gonflés à bloc pour laver l’affront des deux derniers matches de la phase de poules et rendre fiers les Ivoiriens de leur pays et de leur Président Alassane Ouattara qui a tout mis en œuvre non seulement pour organiser ce qui n’a jamais été aussi bien fait en Afrique mais également pour placer la Côte d’Ivoire au firmament. N’oublions pas que cette 34^e édition était la première CAN à 24 équipes. C’est un défi organisationnel relevé par le Président Ouattara mais plus. Le plus grand défi a été de très bien organiser cette CAN mais de la remporter de haute lutte. Comme nous le relevions dans un précédent article, il n’est pas facile d’organiser une compétition comme la CAN et la remporter. Depuis 1980, seuls le Nigeria (1980), l’Egypte (1986 et 2006), l’Algérie (1990), l’Afrique du Sud (1996) et la Tunisie (2004) ont pu organiser et remporter la Coupe d’Afrique des Nations.

On peut dire, on doit dire Grand Merci au Président Alassane Ouattara qui a réussi deux choses à la fois. Organiser comme jamais la compétition et la remporter de fort belle manière. Faisant de la Côte d’Ivoire, un pays avec qui il faudra désormais compter dans le monde.