La pelouse du stade d’Ebimpé testée par la pluie, jeudi (chronique)
La pluie a testé, le jeudi 16 novembre, la pelouse du Stade Ebimpé avant match éliminatoire du mondial 2026, Côte d'Ivoire vs Seychelles, prévu ce vendredi 17 novembre. Les polémiques sur terrain semblent dissipées, selon les journalistes présents.
Abidjan, Côte d’Ivoire, le 17 novembre 2023 (crocinfos.net)—À Barthelemy Zouzoua Inabo: Ebimpé accueille le match Côte d’Ivoire-Seychelles ce vendredi. La pelouse a résisté à la pluie-test, le jeudi. Le gouvernement et les usiniers soutiennent que le prix du sucre n’a pas augmenté. Les consommateurs s’inscrivent en faux. « Les prix ont grimpé », s’énervent-ils. Que s’est-il passé à l’université Felix-Houphouët-Boigny ce jeudi ?
Les journalistes présents ce jeudi à Ebimpé ont signalé que la pluie tombée ce jour n’a pas eu d’incidence sur la pelouse du stade qui porte le nom de ton Camarade. Le système de drainage a fonctionné normalement, disent-ils. L’équipe technique, chargée de la production du match, a installé ses équipements. Douze (12) caméras pour la retransmission du match.
Les Ivoiriens et Ivoiriennes ont raison de s’inquiéter. Les stades de compétition auraient dû être livrés depuis au moins six (6) mois. Ebimpé et le Felicia sont encore en travaux. Et, le 12 septembre 2023 est de triste mémoire pour la Côte d’Ivoire. L’eau avait dévoré le nom de ton Camarade.
Les organisateurs rassurent : les travaux de mise en conformité ont permis de rattraper les défaillances. Le match aura bien lieu à Ebimpé à partir de 19 h.
Les deux sélectionneurs étaient face à la presse pour les traditionnelles conférences de presse d’avant-match. Pour protéger la pelouse du STADO, les entraînements, la veille du match ont été délocalisés. Les Éléphants étaient au lycée technique et les Pirates, à l’Ecole de police.
Parlant de police, la Commission Sécurité pilotée par le Soleil lui-même a largement communiqué sur le plan de circulation, les conditions d’accès au stade et les dispositions pratiques. Tout est question de discipline pour chacun et pour tous.tes.
CAN hospitalière sans sucre ? Grosse interrogation des consommateurs.trices. Plus les usiniers et les autorités rassurent sur la disponibilité du produit et les prix inchangés sur les marchés, plus les citoyens trouvent à redire. « Ces gens-là même, sont sur quelle planète ? », s’énerve un consommateur. Un autre affirme que le kilogramme de sucre est à 1100 FCFA à Bouaké, 1200 FCFA à Grand-Bassam. « Les ministres restent cloîtrés dans les bureaux. Ils ne vont pas sur le terrain, les prix ne sont pas respectés », selon un internaute.
‘’Les Ivoiriens et Ivoiriennes ont raison de s’inquiéter. Les stades de compétition auraient dû être livrés depuis au moins six (6) mois. Ebimpé et le Felicia sont encore en travaux. Et, le 12 septembre 2023 est de triste mémoire pour la Côte d’Ivoire. L’eau avait dévoré le nom de ton Camarade.’’
Le gouvernement insiste pourtant : « 36000 T de sucre sont disponibles pour couvrir les besoins de 27.000 T des populations ». Il appelle les consommateurs au contrôle citoyen.
Le temple du Savoir de Cocody sous les bombes lacrymogènes ce jeudi 16 novembre 2023, au lendemain de la célébration de la journée nationale de la Paix. Le ministre de tutelle y était pour « un commentaire composé » de la loi sur les grandes écoles et universités, adoptée sept (7) mois plus tôt. Tout se passait bien dans la salle. Entre intellectuels. Et puis, la mèche s’est enflammée à l’extérieur. Entre étudiants et forces de l’ordre. Le ministre a été très vite mis en sécurité.
Maintenant, chaque partie essaie d’expliquer les faits. Les causes réelles des altercations restent inconnues. Peut-être faut-il les trouver dans cette phrase de la FESCi: « Il faut préciser que l’impressionnant dispositif est inhabituel et pour le moins étonnant… ». Bilan des courses, des blessés légers, selon la fédération estudiantine.
Un mot de la compassion de la République à l’égard de l’orphelin JPA, Le Blanc de la Mé. L’ex-premier ministre a perdu sa génitrice le 5 novembre 2023 en France. Les condolences se poursuivent ce vendredi à Abidjan.
La chronique de FERNAND DEDEH
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